Litige

Litiges- Trois belles affaires résolues avec insistance…

L’activité « traitement des litiges » à l’association locale du Val d’Orge a eté forcément réduite durant les périodes de confinements imposées, mais nous pouvons noter des cas de traitement de litige ayant aboutis à la satisfaction de nos adhérents. A voir quelques exemples ci-dessous.

N°1

M.A… achète un téléphone cellulaire par Internet chez Amazon, afin de l’offrir en cadeau à son épouse pour la somme de 1486€. La commande arrive mis surprise le téléphone en question a été remplacé sur son chemin par un autre de piètre qualité et surtout une vulgaire occasion.

M. A… contacte Amazon, par téléphone, fait courriers mais sans résultat.

Il contacte UFC-Que Choisir du val d’orge à la MDJ d’Etampes pour qu’un conseiller litige l’aide à se faire rembourser. Il ne veut pas d’échange auprès d’Amazon.

Avec juste un seul courrier de UFC-Que Choisir, Amazon s’engage à rembourser notre adhérent et le fait immédiatement.

M. A… sort satisfait de nos services.

N°2

M. M… se voit débité sur son compte Boursorama Banque d’une somme de 3000€ puis deux fois de suite de 1000€ par un virement qu’il aurait fait (d’après la banque). Seulement voilà, M.M… s’il l’avait fait réellement aurait dû enregistrer un RIB de la personne à qui était adressé les virements.

Ce n’est pas le cas. Il dépose deux plaintes pour détournement à la Police. Boursorama Banque cède en partie et ne lui recrédite que les deux fois 1000€ et refuse de lui recréditer les 3000€. M.M. fait plusieurs courriers, en vain.

Il s’adresse à UFC-Que Choisir du Val d’Orge par la messagerie de notre association et après un courrier de notre part, en mettant Boursorama en demeure de le rembourser et en leur rappelant leurs nouvelles règles de procédures pour les virements (en date du 1er juin 2020 pour toutes les banques), ils procèdent au remboursement de la totalité.

M.M… nous adresse un courrier de remerciements et compte rester fidèle à notre AL.

N°3

M.J… achète par internet à une société de meubles des meubles de salon pour la somme de 2700€ assortis d’un crédit à la consommation (Cetelem). Les meubles arrivent mais au déballage, il s’avère qu’ils sont écornés et abîmés.

M.J… s’adresse au vendeur mais celui-ci fait sourde oreille. M.J.… s’adresse à notre association du Val d’Orge par Internet. Par plusieurs courriers nous mettons en demeure le vendeur de reprendre les dits meubles et de procéder au remboursement. Celui-ci propose la reprise mais ne peut rembourser car la vente était liée à un crédit à la consommation.
Nous adressons un courrier au vendeur lui spécifiant d’écrire à Cetelem et de notre côté nous faisons de même en exigeant le remboursement des sommes prélevée. Le vendeur a respecté son engagement auprès de Cetelem. Bravo à lui.

Cela a pris un peu de temps auprès de Cetelem (quelques mois) mais notre adhérent a été remboursé intégralement et le compte Cetelem clôturé.

Satisfait il nous remercie sur la messagerie de son dossier.

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